Pérou, Pablino 70%

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Certification


Couleur
Chocolat noir

Type de production
Domaine

Origine Fèves
Pérou, Junín, Chanchamayo, Ferm de Pablino

Origine Chocolaterie
France, Strasbourg.

Arômes et notes
Fruité : fruits rouge

Torréfié : cacao

Variété de cacao 
Theobroma cacao L, cv. criollo. 
Theobroma cacao L, cv. Trinitario. 

 

Ingrédients 
Pâte de cacao, beurre de cacao et sucre.

Allergènes
Peut contenir des traces éventuelles de lait, fruits à coque, sésame, gluten et arachide.
 Poids 
100g

Récompense
Chocolate Award 2021 - Bronze World Academy Award 2022 - Bronze Europe

 

Ces fèves de cacao proviennent de la même région que celles utilisées dans notre chocolat Chanchamayo, situé au centre du Pérou. La plantation appartient à un seul producteur qui cultive également divers arbres tels que des papayers, des caféiers et parfois des courges. Pour nous, c'est une plantation exemplaire : le cultivateur est très méticuleux, pratique l'agriculture biologique et obtient les mêmes rendements que s'il ne cultivait que du cacao.

Ce cacao est un mélange des variétés Criollo et Trinitario.

Ces fèves proviennent d'un circuit court, car nous les achetons directement auprès des producteurs.

 

Labels diététique 


 

Plus d'informations

L’histoire de la marque A. Morin commence avec Gustave Morin. En 1884, il travaille à la chocolaterie d’Aiguebelle comme confiseur chocolatier. Plus tard, il transmet sa passion pour le chocolat à son fils, André. Ce dernier, perfectionna ses connaissances dans différentes chocolateries avant de succéder à son père à la chocolaterie d’Aiguebelle. En 1958, André décide de créer sa propre chocolaterie artisanale dans la ferme familiale, car les techniques utilisées à la chocolaterie d’Aiguebelle ne lui plaisaient plus. Depuis ce jour, il souhaite créer un chocolat de qualité uniquement et cet objectif et cette vision n’ont pas changé jusqu’à aujourd’hui. C’est cette même vision qui a poussé Jean-François, le fils d’André, à cultiver lui-même ses amandiers et noisetiers pour produire son praliné, sa pâte d’amandes et son nougat de manière artisanale et maison. Finalement, le dernier chocolatier de la lignée, Franck Morin, a fait des études en industrie alimentaire et en commerce. Il s’est également familiarisé avec le métier et a visité plusieurs plantations pour découvrir au mieux l’importance des terroirs et des pratiques de culture du cacao. L’histoire de la famille Morin est donc loin d’être finie…

Le savoir-faire artisanal de la famille Morin est tout à fait particulier grâce à cette passion qui les unit. Ils cherchent constamment à perfectionner leurs techniques et cherchent à partager leurs connaissances avec les planteurs. Ils tiennent à avoir une production Bean-to-Bar afin d’avoir, d'une part, un contrôle sur la qualité de transformation des fèves et ainsi en retirer le meilleur. D’autre part, ce processus leur permet de traiter directement avec les producteurs et de partager les connaissances avec eux. De plus, travailler main dans la main avec les producteurs permet à la famille Morin de faire passer un message d’une importance toute particulière pour eux : “Préserver les anciennes variétés en respectant au mieux la nature et la biodiversité”. 

La maison A. Morin souhaite mettre en valeur la diversité dans le domaine du cacao, aussi bien par la région d’origine, les différentes plantations, les divers profils aromatiques, etc. Ainsi sans la collaboration étroite établie entre A. Morin et les producteurs, le chocolat créé ne pourrait pas être aussi qualitatif. 

La philosophie de la chocolaterie est de faire le meilleur en respectant la nature, le travail fourni et la matière première. Ils accordent une grande importance à continuer à travailler des fèves de cacao là où ils ont l’habitude de les acheter, même si le goût ne sera pas le même que le lot précédent ou que les fèves ne sont pas exactement comme la fois précédente. Ce sont des aléas auxquels tous les producteurs doivent faire face, mais qui ne sont pas dus à un travail mal exécuté, mais simplement à des facteurs indépendants de leur volonté. A. Morin souhaite donc défendre cette idée-là. 

Le cacao cultivé est de la variété Criollo avec des plantation qui se situent dans le centre du pays, dans le contrefort des Andes. Elles sont donc assez vallonnées et les cacaoyers poussent sous des plantes d’ombrage allant jusqu’à 30 mètres de haut. Dans ces forêts tropicales, l’humidité y est suffisante pour qu’il n’y ait pas besoin de mettre en place un système d’irrigation. La majorité des plantations compte des arbres semés.