Maraná, une chocolaterie péruvienne, se démarque en produisant un chocolat exquis, du processus de récolte des fèves à la création des délicieuses tablettes. Ils sélectionnent avec soin le meilleur cacao péruvien provenant de trois régions : Piura, San Martin et Cusco. Chaque tablette de chocolat est confectionnée avec des ingrédients 100 % biologiques, ce qui souligne leur engagement envers la qualité et l'environnement.
Les fondateurs de Marana, Zulema et Giuseppe, ont une histoire intéressante. Ils ont passé une décennie dans le monde de l'entreprise avant de chercher une voie plus enrichissante pour eux. L'inspiration leur est venue lors d'une conversation avec la tante de Giuseppe, résidant aux États-Unis, qui évoqua un surplus de chocolat à base de cacao péruvien. Ce simple échange éveilla leur curiosité et les poussa à approfondir leurs connaissances sur le cacao en visitant des plantations.
Au fil de leurs découvertes, la passion pour le chocolat péruvien s'est épanouie chez Zulema et Giuseppe. Ils ont décidé de s'investir pleinement pour aider les agriculteurs à améliorer leur qualité de vie. Ils ont opté pour une approche directe en travaillant main dans la main avec les cultivateurs. Grâce à leur enseignement sur les pratiques agricoles durables et leurs améliorations techniques, les fèves de cacao de meilleure qualité sont garanties.
L'emballage des barres Marana est un hommage à la culture péruvienne et au dévouement des cultivateurs de cacao qui consacrent leur vie à cette précieuse ressource. Depuis la vente de leur première tablette de chocolat en 2015, Marana a reçu de multiples récompenses qui témoignent de la reconnaissance pour la qualité exceptionnelle de leurs créations.
Pérou, Saint Martin, Tarapoto
Les variétés cultivées sont le Criollo et Trinitario. Les plantations de la région de Tarapoto sont encerclées par la forêt amazonienne et ont été précurseuses dans le développement de cacao Bio au Pérou. Elles privilégient les cultures diversifiées avec des arbres fruitiers et couvert forestier.
